vendredi 25 janvier 2019

Vous prendrez bien un Vermouth en digestif ?


Souvent consommé à l’apéritif, le vermouth a également ses adeptes comme digestif



Contrairement aux alcools (très) forts comme le whisky qui contrarient le palais avant la dégustation d’un met délicat, le vermouth, par son amertume délicate, prépare la bouche.







Si Anglais et Américains se régalent en fin de repas de nos délicieux Cognacs ou Armagnacs jusqu’à en devenir les plus gros consommateurs, de nombreux amateurs français affectionnent de prendre un verre de vermouth pour digérer plus facilement, tout en prenant garde de ne pas abuser pour éviter la maréchaussée et ses tests !!!







En effet, la combinaison de plantes apéritives et digestives contenues dans le vermouth lui confère l’avantage de soutenir la digestion sans alourdir l’estomac.










Je vous livre quelques ingrédients que j’utilise et qui entrent directement dans cette validation :







L’artichaut (cynara scolymus) qui stimule le foie,



L’aspérule odorante (galium odoratum), le basilic (ocimum basilicum), l’estragon (artemisia dracunculus), la menthe (mentha x piperata) ou la verveine (melissa officinalis) sont toutes des plantes digestives,



Le fenouil (foeniculum vulgare) lutte contre les troubles digestifs,



Le citron quant à lui favorise le bon fonctionnement du foie.

Pour le bien-être après un bon repas, n’hésitez pas à déguster mes vermouths, une boisson des anciens.
 



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L’abus d’alcool est dangereux pour la santé – A consommer avec modération.





vendredi 18 janvier 2019

Mes vermouths sont garantis sans allergène.


Les consommateurs qui souffrent d'une allergie alimentaire reconnue doivent éviter de consommer des aliments contenant des substances susceptibles d’occasionner des troubles alimentaires ou autres plus ou moins graves.



La fréquence des allergies alimentaires et leurs conséquences sur la santé ont amené les pouvoirs publics à instaurer des mesures d'information du consommateur.
L'allergénicité a été confirmée scientifiquement pour 4 substances et ingrédients fréquemment utilisés dans l’industrie des vins et apéritifs :
  • le lysozyme (produit à partir d'œufs) utilisé dans le vin
  • l'albumine (produite à partir d'œufs) utilisée comme agent de clarification dans le vin et le cidre
  • la gélatine de poisson utilisée comme support d‘arôme
  • les produits à base de lait utilisés comme agents de clarification dans le vin et le cidre
Ces substances doivent être mentionnées clairement sur l'étiquetage des vins, bières, cidres ou apéritifs.
Certains ingrédients et substances ont fait l'objet d'une exemption temporaire dans l'attente des résultats des évaluations scientifiques.
Les règles d'étiquetage ne concernent que les ingrédients introduits volontairement par le fabricant dans la recette d’un produit.




En effet, la présence fortuite (accidentelle) d'allergènes majeurs (contamination involontaire par contact avec d'autres produits sur la chaîne de fabrication, lors du stockage ou du transport) n'est pas impossible.
Cependant, la Législation ne concerne pas l'étiquetage de précaution et l'usage de mentions telles que : traces éventuelles, est fabriqué dans un atelier qui utilise, peut contenir des traces de.... Ces mentions sont des démarches volontaires des industriels dans le but d'informer le consommateur du risque de présence de l'allergène. On constate très souvent un usage abusif de ces mentions, dans le but, pour le fabricant, de se "couvrir" vis à vis des consommateurs allergiques ; on parle dans ces cas là, d'étiquetage "parapluie".

Aussi, pour la production artisanale de mes vermouths, j’ai opté pour des plantes qui n’entrent pas dans les familles d’allergènes, j’ai exclu le lactose, il n’y a pas non plus d’anhydride sulfureux et sulfites en concentration de plus de 10mg/kg ou 10 mg/l (exprimés en SO2)
 

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vendredi 11 janvier 2019

Qui dit vermouth, dit plantes et herboristerie



Pour produire mes vermouths j’utilise des plantes, fraiches et sèches, que je cultive dans l’Herboretum de la Petite Chartreuse à Olonne-sur-Mer.

Je me suis lancé à corps perdu dans cette aventure sans avoir, malheureusement, suivi de cursus car les formations étaient rares, couteuses et surtout lointaines géographiquement. Mais la situation change progressivement.

Des ateliers, des séminaires, par correspondance ou du présentiel voient le jour assez régulièrement.

Destinés aux professionnels des plantes ou de la santé par les plantes, certaines sont également ouvertes aux particuliers désirant acquérir une formation pour leur usage privé. Un dédale dans lequel, pour les néophytes, le parcours est semé d’embuches et les niveaux de qualité, enseignants, supports et contenus peut être très étendu.





Différentes filières existent à ce jour parmi lesquelles nous pouvons citer :

1 – Les Ecoles de la Fédération Française des écoles d’herboristerie (FFEH) dont l’Ecole des Plantes de Paris (EDPP), l’Institut Méditerranéen d’enseignement, de documentation et de recherche sur les plantes médicinales, l’Ecole Lyonnaise des plantes médicinales et des savoirs naturels, Cap-Santé – Ecole Bretonne d’Herboristerie, l’Association pour le renouveau de l’herboristerie (A.R.H.)


2 – Hors Fédération : Plantasanté en Alsace, Devenir-thérapeute.fr, etc…

Je vous invite à parcourir l’excellent article de Plantes & Santé (lien : https://www.plantes-et-sante.fr/articles/on-en-parle/2399-des-ecoles-pour-se-former-en-herboristerie?fbclid=IwAR17k1phbuY70QLbZL9jq5vs9KLn8N9V3KAg1J2Au-N2k2FuEXR-MLSoNbE) pour découvrir la suite des formations.
 


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