vendredi 10 mai 2019

Et si vous maigrissiez simplement en mangeant des herbes ???



Le modèle alimentaire pratiqué en France inquiète les médecins et des scientifiques.

 La manière de se nourrir induit des carences alimentaires, des inflammations du système digestif, du stress ou des anxiétés. De plus elle serait responsable de l’accroissement des cas de diabète, de mauvais cholestérol et de la prise de poids !! 

A quelques semaines du début des vacances, le constat a de quoi inquiéter. Soyez rassurés, il y aurait des pistes pour échapper à ces désagréments : la consommation généralisée de produits frais (viandes, poissons, légumes et fruits) combinée à la pratique d’une cuisine aromatisée aux herbes ferait partie des bons gestes.




Examinons la notion de régime : la pratique d’un régime alimentaire destiné à faire maigrir une personne est basée sur la réduction progressive de consommation de calories lors des repas et la consommation intense de ces calories par le sport. Deux éléments essentiels s’ajoutent à ce tableau : la manière et la durée de mastication des aliments ainsi que l’état de la flore intestinale ou microbiote qui divergent selon les individus, l’âge, le métier, le sexe, etc…

Mais, ce que l’on oublie suivent de nous dire, c’est que les herbes peuvent être de bons alliés en tout temps, avant, pendant ou après un régime amaigrissant et même en dehors de tout régime.

En effet, bien avant la pratique de l’agriculture, nos ancêtres se nourrissaient des fruits et plantes qu’ils prélevaient dans la nature. Et ils ont survécu puisque nous sommes là aujourd’hui. Évidemment, leur diète était limitée à ce qu’ils trouvaient, selon les saisons.

Les botanistes vous le diront : la nature regorge de plantes, de fleurs, de fruits et d’herbes qui présentent des vertus intéressantes dont certaines sont bienfaisantes (estragon, absinthe, aspérule odorante), et d’autres sont carrément « amaigrissantes » (queue de cerise, thé vert, aloé véra!!

Et ces excellentes alliées se trouvent en quantité dans nos vermouths : 11 plantes dans le rouge (Le Charbon de Vendée) et 14 plantes dans le blanc (les Ors de Vendée). Elles sont apéritives, apaisantes ou digestives. N’hésitez pas à les tester.

Bonne fin de semaine.

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vendredi 26 avril 2019

Y aura-t-il encore des vignes en Vendée en 2050 ?



Le dérèglement climatique que nous connaissons aurait des conséquences multiples sur le vignoble français et les Fiefs Vendéens ne seraient pas épargnés.


Parmi les faits réellement constatés par les experts nous pouvons citer : :
  • Les époques de vendanges avancent de deux à trois semaines,
  • Le taux d’alcool potentiel augmente jusqu’à près de 14°,
  • L’acidité baisserait,
  • Les arômes dégagés seraient modifiés et
  • Les couleurs sont plus vives ou plus pales selon les cépages.



Des besoins d’irrigation plus importants, une variabilité climatique avec des hivers plus doux ou plus rudes, une pluviométrie décalée dans les saisons, des maladies disparues ou nouvelles aux ceps, voici quelques autres éléments de nature à inquiéter les vignerons vendéens.

quelques spécialistes pensent que certains vignerons devraient envisager de changer de cépage tous les 15 ans !!! Quant serait-il de la Négrette, du Chardonnay ou du Landot qui sont les cépages utilisés pour produire notre gamme de vermouths ??? Le mystère plane.

Bon, je sais que 2050 c’est pas demain, mais je m’inquiète pour nos amis dégustateurs et consommateurs..

Il va falloir se mettre à boire de l’eau.

Trêve de bavardages, nous avons encore quelques belles années devant nous pour apprécier le savoir-faire, le savoir s’adapter et les bienfaits de nos vignerons vendéens.

 Bonne fin de semaine.


 

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vendredi 19 avril 2019

15% des plantes de moisson ou de zones humides menacées en Pays de Loire



Les plantes dites «vasculaires», qui regroupent plantes à fleurs et à graines et fougères, ont été passées au peigne fin, pendant trois ans par des experts. Résultats alarmants : 15% des plantes dites de moissons et de zones humides seraient menacées de disparition en Pays de Loire !!!!!!

 Sur les 6.000 espèces recensées, dont près de 5.000 plantes indigènes (sauvages locales)  plus de 400 sont menacées d’extinction et 300 autres quasis menacés soit une diminution de 15% au total


Plus d’une cinquantaine, dites «endémiques», c’est-à-dire qu’on ne les trouve nulle part ailleurs seraient parmi les plus vulnérables.

La pollution et une urbanisation croissante sont citées parmi les causes de ces raréfactions mais l’intensification des pratiques agricoles, le surpâturage, la fertilisation excessive ou le labour profond sont également nommés par les experts.

Voici quelques exemples de plantes et de leur état de risque :

Risque très critique : la nigelle des champs ( nigella arvensis )elle est disparue en Vendée !

Risque grave : l’étoile d’eau (bamasonium alisma):observée mais rarement en Loire Atlantique

Risque moyen : L’orpin velu (bedum pentandrum)et la Vulnérable» : l a spiranthe d’été ( spiranthes aestivalis ):se rencontrenet de moins en moins en Sarthe.

La ciste hirsute ( cistus inflatus ):se trouve uniquement au Nord du Pays des Olonnes.

De nombreux organismes internationaux se mobilisent pour sauver notre patrimoine, alors pourquoi pas NOUS ????

Amis lecteurs soyez rassurés. Aucune des plantes utilisées pour mes vermouths ne sont dans ces listes.

Voici d’ailleurs de belles photos de lilas blanc en pleine floraison en ce moment.



 















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vendredi 29 mars 2019

Opération positionnement marketing – premiers résultats



La réflexion continue et devrait certainement se poursuivre pendant plusieurs semaines voire mois !!!



Néanmoins je vous livre les premiers éléments que j’ai recueilli :
Sexe des amateurs de mes boissons : hommes pour 55 % et Femme pour 41 %

Age : le grand saut dans l’inconnu : les 18 * 35 ans seraient de gros consommateurs mais il s’agit d’une clientèle volatile et irrégulière qui passe par tous les types de produits !!!
Par contre les + de 65 ans aiment les alcools forts à l’apéritif, genre whisky !!!

Lieu de consommation : pour les + de 50 ans, l’apéro se déguste au domicile avec la famille ou des amis.
Hors domicile, seuls 40 % des français consomment au restaurant.





Fréquence de consommation : en général les français prennent l’apéro au moins une fois par semaine voire chaque jour pour les 60 – 70 ans !!!

Type de boissons consommées : j’en suis à ce stade : vins, cidre, anisé, ABV, alcools forts, champagne, pétillant vins doux, porto ou bière ???? le grand déballage en cours.

Que cherche le consommateur d’apéritif ? moins de produits chimiques, plus de bio, de la qualité et du naturel,
De plus il souhaite acheter localement !!

Que ne veut plus le consommateur ? qu’il y ait trop de sucre dans la boisson, payer trop cher de la M ;;;;;, pas d’arômes artificiels.

Je vous souhaite un excellent week-end ensoleillé et plein de bonnes choses.
Ah, au fait, n’oubliez pas de changer d’heure entre samedi et dimanche

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vendredi 22 mars 2019

Opération positionnement marketing pour ne rien manquer – Part II



La semaine dernière je vous parlais de la technique utilisée pour mener une analyse marketing basique des attentes, besoins et souhaits perçus en ce qui concerne la consommation d’apéritif, et plus exactement de vermouth. Il y a trois parties distingues à l’analyse : la segmentation, le ciblage et le positionnement.

Le ciblage des consommateurs potentiels, ceux qui seraient intéressés de découvrir un produit nouveau (les Ors de Vendée) dans le cadre de la consommation des apéritifs et plus généralement des Apéritifs à base de vins ou Vermouth (à base de gentiane)..

Plusieurs groupes de consommateurs semblent se détacher de l’ensemble de la population ciblée :

1 – des Femmes, jeunes (moins de 35 ans), actives, habitant de grandes villes, et qui aiment consommer des cocktails,

2 – des Hommes plutôt âgés (plus de 55 ans), souvent en retraite, grands amateurs d’alcools forts comme le Bourbon,

3 – des jeunes (20 à 30 ans) hommes ou femmes, de formation supérieure, cadres ou fonctionnaires, qui n’ont pas d’histoire avec le Vermouth car la boisson est disparue depuis trop longtemps. Ils aiment l’aventure et sont prêts à réaliser quelques pas vers l’inconnu pour tester des goûts nouveaux ou oubliés.

4 – d’autres consommateurs potentiels, hommes ou femmes, CSP-, actifs ou non, aimant toutes sortes d’apéritifs ou toujours disposés à tester un nouveau produit. C’est la catégorie la plus nombreuse mais aussi  probablement la plus volatile !!!!!!




Il s’agit maintenant de quantifier les groupes-cibles en mixant les différents caractères communs. Les sources sont diverses et se contredisent parfois !!!!! Aie, ca va pas être « y’a qu’à – faut qu’on « 


Peut-être les premiers résultats la semaine prochaine, si les terrains ne m’ont pas appelé entretemps. C’est qu’il y a du boulot sur les terres.

Je vous souhaite un excellent premier week-end de printemps.




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vendredi 15 mars 2019

Opération positionnement marketing pour ne rien manquer



Il est compliqué de concilier le travail du jardin et dans le laboratoire quand il fait mauvais temps. Aussi j’ai consacré une large partie des dernières semaines pour mener une réflexion approfondie  sur le projet marketing des vermouths et cocktails.





Résultats en trois étapes préalables :
  • il faut segmenter,
  • il faut cibler et
  • il faut se positionner.
 Le premier travail consiste à identifier correctement les consommateurs de vermouths et de cocktails dérivés au travers de critères tels que le sexe, l’âge, les revenus, l’activité, le lieu de vie, le lieu de consommation ou la fréquence et les moments de consommation.

Dans cette matrice de critères, j’ai ensuite du réaliser des choix parfois évidents (les moins de 18 ans sont de faibles consommateurs) parfois plus complexes (urbains ? citadins ? ruraux ? oui/non ? pourquoi ?).

De cette première analyse j’ai retenu une info intéressante : les jeunes femmes citadines sont de réelles « amateurs » de cocktails à 54 % contre seulement 31 % pour les hommes.

Une seconde info ressort : les personnes de plus de 55 ans se souviennent d’avoir entendu parler de vermouth dans leur jeunesse et même certaines de l’avoir gouté et apprécié. Pour les moins de 35 ans par contre le mot vermouth n’a pas de signification immédiate sauf pour les 17% de métropolitains qui vont en boite chaque week-end !!

Je continue mon travail et la semaine prochaine je vous parlerais des résultats de la deuxième étape : cibler le ou plutôt les groupes les plus susceptibles d’aimer le vermouth et les cocktails réalisés à base de vermouth.

C’est probablement une autre et sacré affaire !!!! Il faut voir large mais pas trop !!! Dilemme.

Entretemps je vous souhaite un excellent week-end..

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vendredi 8 mars 2019

Les vermouths de Domaine Pastoral sont premium, c'est-à-dire ?



Le verbe « premiumiser », s’il existe, signifierait « choisir un produit, réinventer sa composition en utilisant des ingrédients de première qualité ou des ingrédients nouveaux et certifiés, le conditionner dans un joli emballage, raconter une belle histoire et le vendre à prix élevé ».


Cette stratégie commerciale, utilisée pour réinventer la vodka, le gin ou d’autres spiritueux, semble avoir porté ses fruits et apporté de bons résultats aux monstres de l’alimentation et des boissons alcoolisées qui s’en serve pour fourguer leurs cochonneries.



L’option que je mène depuis plusieurs années n’est pas de reléguer les industriels du vermouth dans les bas fonds, j’en serai matériellement bien incapable, mais plutôt de tenter de faire une place de choix à des produits de qualité, élaborés lentement avec soins, qui rendent heureux sans être euphorique, qui soignent et qui relaxent le consommateur avisé.

Les premières étapes du processus, niveau artisanal à 1000 %, ont été conduites dans le laboratoire de « La Cabane à Vermouths » de l’Ile d’Olonne » depuis avril 2017 et je pense que nous sommes sur le bon chemin.

Les plantes ont été sélectionnées par mes soins et en collaboration avec des Instituts spécialisés, elles sont maintenant produites en quantité limitée sur l’Herboretum de la Petite Chartreuse à Olonne-sur-Mer et leur extension sera bien mise en route avec le printemps qui arrive.

Traditionnellement fabriqué à base de vins blancs, le rouge étant coloré artificiellement avec un sirop de caramel, j’ai opté d’utiliser un cépage rouge pour le Charbon de Vendée, il s’agit du ganay, la couleur de mon vermouth rouge est donc 100 % naturelle et authentique.

Voilà donc des éléments de nature à attirer le consommateur de vermouth, attiser sa curiosité, lui faire déguster un breuvage qu’il n’a encore jamais gouté, en un mot quelque chose d’UNIQUE ;

Qu’en à notre petite histoire, c’est une autre affaire dont je vous parlerai un autre jour.




vendredi 1 mars 2019

Donner de l’authenticité et du caractère à un vermouth



Il me semble qu’il n’est pas nécessaire d’exposer de grandes théories pour expliquer de quelles manières un Vermouth devrait être : il doit être bien, il doit être bon et il doit être beau. 

 Bon, bien et beau ! : cela parait tellement évidant et simple ! Mais le plus difficile dans la vie n’est-il pas de faire simple ?


J’entends et j’observe souvent que d’autres producteurs de vermouth font état de l’utilisation de multitudes d’extraits de plantes, d’alcools d’origine inconnue ou de cépages à géométrie variable. Ils vont plutôt dans le sens du vent économique et se tournent vers ce qui  est le moins couteux tout en restant original.

Mes choix m’ont orienté naturellement et instinctivement vers les trois principes :

Le vermouth doit être bien : mes deux vermouths sont vivants, ils ont du caractère naturel et se combinent aisément avec des jus de fruit ou du sirop de fruit.

Le vermouth doit être beau : leur limpidité est juste le résultat d’un travail laborieux et attentif, d’un assemblage longuement étudié et d’un élevage long et attentif.



Le vermouth doit surtout être bon : mes arômes sont puissants, les vins utilisés sont toujours les mêmes, le sucre est toujours du bio de canne, les plantes connaissent chaque année les mêmes soins pour la culture en « sans-agir » la récolte à point comme pour des fruits précieux, le séchage naturel et le broyage manuel à l’aide d’un fouloir en bois.

Venez à la Cabane gouter mes vermouths pour faire votre propre idée et me faire partager vos impressions.
 


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vendredi 22 février 2019

(Re)mettre de la lenteur, du respect et de la rareté dans l’apéritif.



Pour remettre de la lenteur, il faut opter pour « laisser le temps au temps », pour respecter la nature il faut la « laisser faire » selon son passé et ses intérêts que nous ne comprenons parfois pas et pour gérer la rareté il est utile de « se tourner vers des méthodes de production artisanales », peu mécanisées, peu gourmandes en énergie et donc à faible rendement : tout ce qui correspond aux valeurs développées par mes soins dans le Domaine Pastoral, producteur des Véritables Vermouths de Vendée.

Il n’y a aucun espoir naturel de voir pousser les plantes aromatiques en hiver en Vendée, sauf à les produire à l’autre bout du monde ou de les produire dans des cages climatisées, à l’abri de la lumière et en recourant à des fertilisants chimiques.

Je ne trouve aucun intérêt de produire des plants de basilic ou autres de taille XXL à forte teneur en engrais, avec une proportion de substances actives à rendement faible (poids des actifs/poids brut récolté) et n’ayant aucun goût !

N’ayant que deux bras, vigoureux certes,  que 1440 minutes dans une journée, qu’un terrain bien exposé de 15 ares, qu’une unité de production artisanale capable de produire seulement 300 L de breuvage à la fois dans un cycle réactif de 90 jours, je ne vois pas comment je pourrais atteindre les millions de bouteilles réalisées chaque années par les industriels du secteur des vermouths.

On ne peut pas produire du bien, du beau ou du bon quand on bouscule le naturel. Je suis souvent dégouté de mes lectures des contre-étiquettes de certains flacons d’apéritif dont les ingrédients sont écrits tellement petits qu’il faut une loupe pour savoir qu’il y a du E….. ou  du sorbate de …… dans tel ou tel !!

Aussi chez Domaine Pastoral il n’y a pas de maquillage ni de saupoudrage dans mes bouteilles, juste un vermouth artisanal riche en goût et puissant en alcool, élaboré patiemment et chouchouté comme un enfant.



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vendredi 15 février 2019

Si vous lisez mes articles entre les lignes, vous aurez compris que mes vermouths sont sans maquillage et sans artifice !



Un peu comme les vins natures, du sans-agir, des vermouths vivants, à contre-courant des méthodes industrielles. Il en est ainsi des vins utilisés et des plantes produites par mes soins.

La production n’est pas énorme et les capacités de croissance sont limitées. Différentes raisons s’allient pour créer cette situation :
1 – la production contraignante des plantes aromatiques et médicinales : la qualité ne peut se soustraire à la quantité, la recherche des arômes les plus concentrés limite les disponibilités,
2 – la disponibilité économique de vins de qualité supérieure, l’option de vins des Fiefs Vendéens, le choix de a collaboration avec un seul producteur de talent,
3 – le nombre 1440 qui représente la somme des minutes contenues dans une seule journée, pas plus pas moins et un gros grain de folie pour utiliser ce temps et laisser le temps au temps.

Tout est volontairement réuni pour faire des vermouths d’exception.

1 – la culture du NON-AGIR : je ne travaille pas la terre ni à pied, ni à cheval ni sur un tracteur ! Pas d’engrais, pas d’insecticide, la vie de la terre est livrée à elle-même. Je crois à la capacité du terrain à s’autogérer, à se renouveler, à lutter contre les périodes de sécheresse ou le trop d’eau. De plus les déplacements sur les terres sont limités afin de ne pas tasser le sol. L’enrichissement du sol est assuré par les apports des déchets de plantes lors des récoltes. De cette manière les organismes vivants dans et sur le sol se gèrent les uns par rapport aux autres et les plantes agissent pour ce qui leur est utile et contre ce qui leur est néfaste.

2 – des vins d’exception : j’ai opté pour des raisins de qualité  supérieure élevés dans les meilleures parcelles et suivant certaines expositions sur les faibles hauteurs de Brem-sur-Mer, mais ces parcelles sont limitées ! Et les raisins sont cultivés sans engrais, sans pesticides, justes entretenus ad-minima et surveillés. On y voit souvent des papillons qui ont désertés les autres parcelles. Pressé à froid, le mout est ensuite soigneusement ensemencé de levures naturelles et mis à fermenter. Plus tard il sera élevés en barriques pendant deux ans.

3 – le temps de laisser-faire la nature : j’utilise une partie de mon temps à étudier les combinaisons de plantes, les associations de goûts et d’arômes, à doser un peu plus de ceci et un peu moins de cela, j’observe minutieusement les réactions, les températures, le moment où telle réaction se d’éclanche, et je goute, je crache, je jette, j’élimine.
 
En 2018 toutes les conditions n’étant pas réunies à mon gout, j’ai opté pour un non-assemblage de vermouths 




vendredi 8 février 2019

Du sucre de canne bio dans mes vermouths. Et peu de sucre.



Je lisais récemment un article dans UFC-Que choisir sur les pratiques de certains industriels de l’alimentation. 

A l’heure où l’obésité s’installe dans nos sociétés, on découvre que la stévia, l’aspartame, l’acésufame K ou le sucrabose ont envahi de nombreuses préparations alimentaires industrielles.

Pourquoi tant d’obstination à faire de notre alimentation un parcours du condamné à mort ?

Une des raisons invoquées serait le coût relativement bas de ces composants et une autre raison, le grand pouvoir sucrant des ingrédients. A défaut de développer des arômes subtils, sucrons disent-ils !!!!

Savez-vous par exemple que lorsque vous consommez de la tomate sous forme de sauce achetée en grande surface, les sucres ajoutés (5 à 6 grammes aux 100 g) font monter la facture à 60 calories par 100 grammes ?

Et que dire des sucres cachés dans les sodas ou dans les délicieux plats préparés, prêts à être enfournés et consommés ?

Ces apports supplémentaires, qui détruisent la dentition et favorisent l’obésité, font régulièrement l’objet d’avertissements de la part de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS).

Ainsi en 2015, l’O.M.S. a lancé une alarme pour réduire l’apport en sucres, pas les sucres présents naturellement dans le lait, les fruits frais ou les légumes, mais ceux que les industriels ajoutent dans les préparations fabriquées en masse dont le glucose, le fructose ou le saccharose introduits dans les sodas et autres boissons sucrées, dans les desserts, les pâtisseries ou les confiseries, et dans bon nombre de produits industriels, notamment les plats préparés.

Certains fabricants de vermouth ne se privent pas pour afficher un taux global de sucre dans leur apéritif à hauteur de 14% voire plus !!!!!

D’autres ont compris depuis longtemps qu’ajouter cet ingrédient magique à leurs produits permettait d’accroître les volumes de vente. Ils ont même inventé le terme de point de félicité pour qualifier le goût sensoriel optimal d’une boisson ; plus on en boit plus on a envie d’en boire !!!!

.Chers clients, dans les vermouths de Domaine Pastoral, pas de chimie, uniquement du sucre de canne bio.

Et pas de quantités astronomiques : seulement 5%, c’est largement suffisant.

Pas de sucre excessif pour cacher les autres sal……, ou pour vous contraindre.
Peu et naturel, comme le reste des ingrédients. 
 

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vendredi 1 février 2019

Les émulsifiants n’ont pas place dans mes Vermouths !!! ?



Après avoir découvert un lien entre des additifs alimentaires et certains troubles digestifs (inflammation de l’intestin), des chercheurs viennent de prouver une relation de cause à effet entre des émulsifiants et le bien-être mental (à ce stade chez les souris) !!!

Mais jusqu’où iront les industriels de l’alimentation pour nous faire déguster leurs cochonneries ???

On retrouve les émulsifiants dans la plupart des préparations culinaires industrielles pour modifier leur texture ou pour allonger la durée de vie des produits comme dans le chocolat ou certaines margarines.

Pire ! S’agissant d’additifs alimentaires, le législateur national ou européen n’a rien prévu en ce qui concerne les doses limites utilisables et incorporables dans les préparations !!!

Tout est libre ou presque !!

Pour les chercheurs il y aurait un lien entre le cerveau et notre ventre : il est vrai que repu l’homme est plus facilement manipulable et sensible à certains sollicitations. Une bonne raison pour ne pas faire ses courses en grande surface après un bon repas. La présence de ramifications du nerf vague dans les intestins y est certainement pour quelque chose.

Et les chercheurs ont montré une modification différente du comportement chez les males et les femelles !!!!

Ainsi, chez les mâles l’absorption de certains émulsifiants entrainerait une augmentation de l’état d’anxiété tandis que le comportement social serait le premier modifié chez les femelles.



Que les amateurs et connaisseurs de nos vermouths soient rassurés : rien de tout cela dans mes vermouths.
Pas d’additif et pas d’émulsifiants. Qu’on se le dise.



 
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