Pour continuer sur mon article de la semaine dernière traitant du cycle de production très particulier, je vous parle aujourd’hui de laisser le temps au temps.
Pour la fabrication de mes vermouths
100 % authentiques, j’ai opté dès le début de mes expérimentations sur l’idée
de laisser au temps et à la nature le temps de faire leur œuvre afin d’obtenir
des produits stables, optimum et finis dès la fin de production.
Le cycle de production, maintenant
invariable dans ses séquences, connaît, en fonction de la date de début de
production, une amplitude de 90 à 110 jours.
1 – La première macération dure au
minimum 15 jours ou plutôt 15 nuits, car le jour n’ayant aucun effet à ce stade
sur le produit final, je mesure le temps en nuitées,
2 – La macération secondaire,
concernant principalement des plantes fraîches cette fois, sera influencée par
le jour puisque toutes ces plantes sont sensibles à la lumière, et le temps va
s’écouler sur une plus longue période de 30 à 35 jours,
3 – la phase de sucrage dure une seule
journée et une troisième macération, toujours à froid, se déroulera durant 45 à
50 jours après extraction des poches et débourbage,
4 – et enfin, après un cycle global de
90 à 100 jours, je procède à la filtration finale, au soutirage, à la mise en
bouteille et au bouchage, sur une séquence de un à trois jours.
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